La sécurité du vélo et de son usager
La condition principale à remplir, c’est d’être visible, de jour comme de nuit. Le piège, c’est souvent à la nuit tombante. À vélo, on a l’impression qu’il fait encore bien jour. Mais si les automobilistes commencent à mettre leurs feux, c’est que pour eux, ça commence à être sombre. Il est temps pour nous, les cyclistes, d’allumer les nôtres et de revêtir le gilet jaune.

Pour le comportement adéquat, je conseille la lecture de cette page sur le site de la FUB (Fédération des Usagers de la Bicyclette) : https://www.fub.fr/ma-securite/deplacements/bons-comportements-cycliste-rue

- Être vu
- Garder son équilibre
- Être attentif en permanence
- Respect des autres usagers
- Signalisation, code de la route et de la rue
- Coincer la bulle autour de soi
- Savoir se comporter avec les aménagements
- Préparez-vous
- Faites vous respecter
Pour sécuriser son vélo

La peur du vol est une des premières causes de renoncement à l’utilisation du vélo. C’est pourquoi il est indispensable de toujours l’attacher, même pour une minute. Contrairement aux idées reçues, beaucoup de vols sont commis en plein jour, dans des lieux passants ; le voleur utilise un outil discret ou il prétend qu’il a perdu la clé de l’antivol.
Tous les antivols ne se valent pas, tant s’en faut. Et hélas, un bon antivol est plus cher, plus encombrant et plus lourd qu’un mauvais. La FUB a testé différents types d’antivols. Voir cette page : https://www.fub.fr/types-antivols

Le bon antivol, c’est bien, encore faut-il bien l’utiliser. Là aussi la FUB donne des conseils utiles. L’idée de base est d’attacher à un point fixe (un arceau dédié quand il existe) le cadre et la roue avant, surtout si elle est munie d’un axe à attache-rapide. Parce qu’en ce cas, c’est aussi un détache-rapide et que les vols de roue, ça existe aussi.
Enfin, dernière précaution qui peut décourager un voleur et permettre de vous rendre votre vélo si on le retrouve, le marquage type bicycode, obligatoire dorénavant sur les vélos neufs.