Le vélo comme véhicule du quotidien
Le vélo comme véhicule du quotidien

Voilà l’usage d’une personne qui ne se déplace qu’à vélo dans Joigny, même en temps d’activité réduite. Ce graphique ne prend pas en compte les sorties loisirs en VTT. 122 km en un mois, soit environ 1500 km par an. En estimant, pour une petite voiture moderne (pas un SUV comme on en voit tant en ville), que la consommation est de 5 litres pour 100 km, c’est donc :
- 75 litres de carburants économisés
- Environ 105 € économisés
- Environ 150 kg de CO2 qui n’ont pas été émis dans l’atmosphère selon les données de Vroomly (https://www.vroomly.com/blog/emissions-co2-voiture-normes-taxes-simulateur/), c’est 175 kg selon ce calculateur : https://calculis.net/co2
- Aucun polluant néfaste pour la santé (particules fines, ozone, dioxyde d’azote…)

Pour évaluer les bénéfices pour l’environnement de la pratique, on peut aussi se rendre sur cette page : https://agirpourlatransition.ademe.fr/particuliers/calculer-emissions-carbone-trajets
Le calcul donne l’équivalent CO₂ par personne en France. Sont inclus les émissions directes, et la production et distribution de carburant et d’électricité. La construction des véhicules (voiture, vélo, batterie, train, avion…) et des infrastructures (routes, rails, aéroports…) n’est pas incluse.
Au-delà de ces chiffres, c’est…
Le plaisir, le sentiment de liberté, une mise en œuvre rapide et facile, un stationnement facilité, pouvoir respirer, pouvoir s’arrêter facilement parce qu’on a vu un ami, une jolie vue, un truc intéressant en passant. Et tout ça en agissant pour sa santé cardio-pulmonaire, pour son tonus musculaire, par l’activité physique générée, celle dont les médecins ne cessent de nous dire qu’elle est indispensable.