Pour sa santé. Il permet de faire le minimum d’activité physique recommandé et réduit les risques de maladies cardio-vasculaires. La Fédération Française du Vélo (FFVélo) a mis en ligne une page pour détailler cet aspect : https://ffvelo.fr/randonner-a-velo/sante-et-securite/nos-conseils-sante/
Pour son porte-monnaie. C’est en ville, sur les petits trajets, que nos voitures consomment le plus de carburant. Avec le vélo, on remplace assez facilement 40 km de voitures par semaine, soit 2000 km par an. Une belle économie. Cet article décrit un mois à vélo pendant le troisième confinement.
Pour l’agrément, la facilité de s’arrêter lorsqu’on croise un ami, parce qu’on voit beaucoup plus de choses à vélo qu’en voiture. Pour la facilité à stationner, pour la rapidité de mise en œuvre.
Pour les autres
Pour la santé de tous et particulièrement des enfants, parce que lorsqu’on roule à vélo, on n’émet pas de ces fameuses particules fines (dont la moitié est émise par l’usure des freins, des pneus et des routes).
Pour la beauté des sites, et à Joigny en particulier, de sa vieille ville classée. Une ville qui n’a pas été construite pour la voiture.
Pour le bruit. Rappelons-nous le premier confinement, lorsqu’on a redécouvert le plaisir du silence et des bruits de la nature. La pollution sonore est même un enjeu de santé publique.
Pour la planète
Parce que les transports sont la première cause d’émission de gaz à effet de serre et donc un levier important pour leur réduction.
Parce que c’est pour la voiture qu’on artificialise l’équivalent d’un département tous les deux ans.
Parce que la voiture, ce sont des tonnes de déchets plastiques dont on ne sait pas quoi faire en fin de vie, à part les cacher en les enterrant ou en les brûlant.
Parce que, à Joigny comme ailleurs, nous devons contribuer aux accords internationaux pour aller vers la neutralité carbone.
